30 janvier 2012

01- Le commencement

Salut à tous !
Voila j'ouvre un nouveau blog pour un projet que j'ai, du moins que j'ai eu l'idée apres lecture d'une affiche sur facebook et qui m'as fortement donner envie de la faire !

Voici l'affiche en question.




Donc le but de ce blog... Un jour, un défis!

Commencement DEMAIN!




Apres avoir finis cette fiche, je continuerais des defis! et toujours avec la meme rigueur ! 

Tchooo 

1 commentaire:

  1. A 645 km d’Angoulême.
    Cette semaine, Coco ( ?) lance un blog. C’est le moment pour Toto ( ?), de lui répondre, par des petits textes en rapport ou pas avec ses « petits-miquets ».

    On aurait légitimement pu considérer que l'événement de ce mois de janvier serait, quoi qu'il arrive en France, la mobilisation massive des média sur le monde politique en ébullition de cette érection pestilentielle. Seulement, un homme résiste encore et toujours en l’envahisseur.
    Thème philosophique palpitant pour le scibouillard que je suis. JE communique donc a mon tour. JE souligne que la pression des enjeux a relégué les lecteurs au second plan dans les priorités du faiseur de « petits-miquets ». Les attentes sont trop souvent occultées au profit des exigences des gros financeurs : actionnaires, télévisions, sponsors… Cela ne suffira pas cependant pour que cette action soit médiatisée autrement qu'à la marge de l'actu Facebook et résolument asociale. Dommage.
    Effervescence / À ce niveau, ce n'est plus de la négligence, mais soit un choix délibéré de passer sous silence une initiative pourtant significative par son ampleur et son contenu, soit un embarras total devant des lecteurs dont on découvre qu'ils peuvent aussi articuler des revendications. Autre objet de discorde moins "politique" mais récurrent : le « moi », l’ « égo », la représentation qui fait l'objet d'une prohibition accrue. Depuis quelques mois et notamment d’Angoulême, les revendications d'une fraction importante des lecteurs se sont étoffées, incluant la remise en cause du pouvoir des actionnaires et des diffuseurs, du mercantilisme ambiant, de l'inflation des prix des œuvres.
    Figuration ou folklore, faites votre choix / Si l'esprit vient aux lecteurs, s'ils quittent la panoplie des gentils commentateurs ou s'ils sortent de leur rôle de consommateurs de produits dérivés, et même s'ils refusent de souscrire aux stéréotypes du fan, ils s'exposent au mieux au mépris, au pire à un rejet général.
    Qui a peur des simples lecteurs ? / Il y a des faiseurs de « petits-miquets » qui sont des groupes constitués et qui, là, ont une démarche qui s'apparente à une démarche syndicale. Alors ils ont sûrement de bonnes raisons d'avoir fait tout ça, mais ce serait mieux si les problèmes pouvaient s'arranger et que le petit-miquet soit ce qu'il doit être, c'est-à-dire une œuvre avec un public qui participe au spectacle. En clair les mecs, vous avez de bonnes raisons, mais priez pour que les problèmes s'arrangent par l'opération du Saint-esprit et contentez-vous de lire en fermant vos gueules, parce que sinon, vous emmerdez tout le monde. On ne se lassera pas de souligner ici le décalage incroyable entre le mépris dont ils font l’objet, et leur importance réelle dans l'économie du 9, 10, 11 ème art, on ne sait plus trop. Marchandise principale du marché des tirages et de celui des droits d’auteur, appelés à acheter des BD, des fac-similés, des t.shirts, des journaux, on leur refuse pratiquement tout droit à la parole, ils n'ont aucune représentation significative dans les jurys, leurs mobilisations sont délibérément ignorées par les médias, quand ceux-ci ne les stigmatisent pas allègrement… En attendant, et en rêvant un peu, proposons-leur une action susceptible de faire trembler les maisons d’édition : le boycott des produits officiels !

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